• Alleeeer ! Un Shojo ! C'est rare ! 

    Shirayuki aux cheveux rouges est un shojo prépublié depuis 2006 dans le magazine LaLa depuis 2006. Au japon, on compte déjà 14 tomes. En France, il est publié par Kana depuis 2012. Une série a été produite en 2015 et c'est d'elle que nous allons parler aujourd'hui !

    Déjà, ça partait très très bien. L'anime a en effet était produit par le géant Bones soit le studio qui a accouché des deux séries Full Metal Alchemist et de Ouran Highschool Host Club, entre autres.  Ça claque hein ? Et effectivement, si on s'attache un peu à l'animation et à la musique, on ne peut que saluer la réalisation:

    Les mouvements sont fluides, les couleurs sont vives... Je pense que vous l'avez bien remarqué sur mon gif d'ouverture. 

    La musique donc se compose de thèmes élégants et raffinés. Le thème du Prince par exemple est une merveilleuse gamme chromatique au violon. C'est sans contexte l'OST le plus soigné que je n'ai vu depuis longtemps. Peut-être même depuis Bleach dans un autre genre.

    Pourquoi un thème aussi précieux me direz-vous ? Et bien, Shirayuki est un véritable conte de fées:

    Shirayuki est une jeune pharmacienne. Elle est travailleuse et belle comme un cœur avec sa rarissime chevelure rouge. Cette particularité attire les convoitises notamment celles du prince Raji qui a dans l'idée d'en faire sa concubine. Mais notre mignonne pharmacienne étant une femme indépendante, elle coupe ses cheveux et s'enfuit vers le royaume voisin. Où elle fait connaissance de Zen: Prince du royaume de Clariness .  

    Soyons Clairs: Je range cet anime dans la catégorie "Plaisir Coupable" c'est à dire que c'est pas le genre de chose que je peux assumer pleinement. En effet, malgré la réalisation époustouflante, on reste devant quelque chose de magnifiquement cucul. Certes, l'héroïne est d'abord présenté comme une femme forte et indépendante mais vite elle vient à se reposer sur Zen.

    De même,niveau originalité, en une saison, les intrigues arrivent à être recyclées. Je suppose que c'est pareil dans le manga mais bon. D'ailleurs cette intrigue elle est un poil mensongère ! Shirayuki, en français Blanche-neige, commence avec moult renvois au conte de grimm... Oubliés dès le deuxième épisode.

    Au final, un shojo beau mais classique.  A réserver aux amateurs du genre ! 

    L'opening ?

     

     


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